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La revue "Science et Vie" d'avril 1991 fait sa première page avec le sous-marin à propulsion MHD.
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Si on augmente le rapport puissance sur poids, ces sous-marins s'envoleront et pourront croiser à vitesse hypersonique (plus de Mach 3) dans l'atmosphère sans produire de "Bang"!. C'est ainsi que s'exprimait le professeur Jean-Pierre Petit dans son livre Enquête sur des extraterrestres qui sont déjà parmi nous...Le mystère des Ummites.

Le mode de déplacement par la MHD
Modifier l'environnement avant même d'envisager le déplacement. Ceci est une nouvelle application de cette toute dernière philosophie du déplacement. C'est un nouveau concept de base pour se permettre de se déplacer dans un environnement quelconque. 

Plus particulièrement, les deux milieux ici pour le moment qui nous intéressent sont l'air et l'eau. Jusqu'à maintenant on s'est toujours contenté de se propulser (fusées à réaction, avion à moteur turbopropulsée, sous-marin propulser par hélices... principe de physique de la variation de la quantité de mouvement) ou de mettre en marche un mécanisme (automobile, camions, bicyclettes... principe de physique de la conservation de l'énergie) pour se déplacer sans se préoccuper des réactions de l'environnement sur le véhicule en déplacement dans le milieu dans lequel il évolue.

C'est pourquoi nous assistons à des phénomènes du frottement, dû à la résistance de l'air ou de l'eau, qui sont l'apparition des ondes de choc à vitesse supersonique et du mur de la chaleur à vitesse hypersonique et qui de plus limite la vitesse à laquelle on peut évoluer dans le milieu. Ces contraintes ont forcées la découverte et la construction de profilés aérodynamiques, matériaux à haute performance contre les stress mécaniques et thermiques. Donc la manifestation de ces phénomènes naturels de la mécanique des fluides rend difficile et très complexe à concevoir des engins pouvant se déplacer très rapidement en toute sécurité et de façon économique. Il existe entre autre, l'avion le Concorde qui est un avion commercial pouvant ce déplacer à la vitesse du son. Par contre le phénomène du "Bang" lorsqu'on atteint la vitesse du son, limite de beaucoup les endroits où il peut se déplacer à la vitesse du son et je n'insiste pas sur sa grande consommation d'énergie qui en fait un transporteur pas très économique. Bien sûr, nous voudrions tous que se soient des engins silencieux, non ou peu polluant et surtout sans effet désagréable au corps humain. Je n'ai plus aussi à vous convaincre des milliers et parfois millions de dollars que coûte chacun des avions modernes, sans compter les hélicoptères, les sous-marins et le train à haute vitesse.

Dans le vol MHD intra-atmosphérique, il s'agit d'ioniser fortement l'air environnant. Donc l'altération est réaliser dans la couche entourant l'objet. Les textes Ummites propose un tapis d'ionisateurs pariétaux distribués sur toute la surface de l'engin, destinés à ioniser l'air, à le rendre conducteur d'électricité.

Ces petits dispositifs sont censés créer des ions négatifs. La méthode consiste à bombarder les molécules environnantes avec des électrons possédant des énergies bien précises, ce qui entraîne leur attachement sur des objets lourds que sont les atomes ou les molécules, de manières assez fugitives. Ces ions négatifs ayant une "durée de vie" limitée, ceci permet de disposer d'une ionisation non constante dite pulsée.

Il est semble-t-il facile, expérimentalement, de fabriquer des électrons libres en agissant sur le gaz à l'aide d'un puissant champ électrique, constant ou variable. Dans les deux cas on obtient ce qu'on appelle un plasma qui, possédant des charges électriques libres, devient conducteur d'électricité. La définition d'un plasma telle que rapportée par le dictionnaire le Petit Larousse Illustré 1993 est la suivante: fluide composé de molécules gazeuses, d'ions et d'électrons. (On estime que 99 p. 100 de la matière de l'Univers est sous forme de plasma.) Des textes Ummites de ces dernières années précisent que le halo de luminosité orangée, vu plusieurs fois autour d'un OVNI, correspond bien à un phénomène d'ionisation. 

À partir du moment où l'air entourant la machine a été rendu conducteur d'électricité, il est possible d'exercer des forces, dites forces de Laplace. Au secondaire cinq (5) on apprend en physique élémentaire par exemple que lorsqu'un câble est parcouru par un courant électrique et qu'il est plongé dans un champs magnétique perpendiculaire au courant électrique, il apparaît une force, dite force de Laplace, orientée perpendiculairement au sens du courant électrique et en même temps au sens du champs magnétique. (La règle de la main droite)

Avant d'aller plus loin dans l'explication de la MHD, je propose de vous faire lire ce qu'un des textes Ummites dit à ce sujet :

« Quand une de nos nefs pénètre dans les couches les plus denses d'une atmosphère quelconque, à des vitesses que vous qualifieriez d'hypersoniques, la chaleur transférée à la paroi tant par la couche de choc que par la couche limite (j'utilise des termes qui vous sont familiers car nos concepts de mécanique des fluides se formulent de manière différente) ne pourrait être absorbée, malgré ses caractéristiques élevées d'ablation, sans que ses nombreux organes se détériorent et que sa surface elle-même fonde. Les pertes énergétiques seraient par ailleurs très élevées du fait que la couche limite passerait automatiquement du régime laminaire au régime turbulent.

En résumé, le problème se réduit à contrôler ou à obtenir la maîtrise rigoureuse de ce que vous appelez la couche limite et la couche de choc, sans modification du profil du vaisseau de telle manière que l'écoulement gazeux puisse être régularisé, aussi bien le gradient de vitesse dans la section de la couche limite, en empêchant le passage laminaire au régime turbulent. Il fallait par ailleurs contrôler pour chaque allure de vol la distance réelle des couches (de choc et couche limite) vis-à-vis de la paroi de l'engin, de telle manière que le
transfert calorifique reste supportable.

L'autonomie de vol peut ainsi être assurée dans de larges limites de tolérance. Dans l'atmosphère de notre planète, des conditions de vol standards correspondent ainsi à un nombre de Mach équivalant à 12.»

J'ai rapporté, ci-dessus, le texte intégrale se trouvant dans le livre de Jean-Pierre Petit, Enquête sur des extraterrestres qui sont déjà parmi nous...Le mystère des Ummites. Et j'admet humblement que ce n'est pas évident pour le profane, quand on fait une lecture de ce texte, de savoir où ce cache la MHD dans tout cela.

Commençons avec l'explication de la "Couche limite". Le mécanicien des fluides nomme ainsi la couche, gazeuse ou liquide, où la vitesse varie assez fortement dans une direction perpendiculaire à la paroi, attendu que cette vitesse des molécules d'air doit être nulle au contact de l'objet en mouvement, par rapport à celui-ci (en mécanique des fluides, on convient toujours de repérer les vitesses par rapport à l'objet en déplacement). Lorsqu'une automobile se déplace dans l'air à 100 kilomètres à l'heure, quel que soit son profilage, elle est entièrement enveloppée de cette "couche limite gazeuse". Sur le capot la vitesse, repérée comme d'habitude par rapport au véhicule, ne passe pas de 0 à 100 kilomÈtres à l'heure en une épaisseur nulle. Cette variation s'effectue à travers une couche qui possède une épaisseur qui est au minimum de quelques millimètres, voire plus. La "laminarité" des filets fluides ne peut être assurée bien longtemps. La moindre aspérité, la moindre entaille ou la moindre bosse déclenche un phénomène de turbulence.

Lorsqu'un objet est placé dans un courant gazeux supersoniques ou hypersonique, il se crée aussitôt une onde de choc frontale à travers laquelle la densité, la pression et la température subissent une variation brusque. Lorsque le nombre de Mach est supérieur à 3, on entre dans un domaine du dit hypersonique. L'onde de choc enveloppe alors étroitement la partie frontale de l'objet et c'est la raison pour laquelle on parle de "couche de choc". Les textes ummites disaient explicitement que l'on pouvait agir sur cette couche de choc et réduire notablement les "gradients", c'est-à-dire les variations brusques des paramètres du gaz: densité, pression, température. Il s'agissait d'une idée parfaitement neuve car, jusqu'à ce que nous lisions ces textes, on professait dans toutes les universités et écoles d'ingénieurs que l'onde de choc était inévitable lors d'un vol supersonique et a fortiori hypersonique.

Lorsque j'ai suivi mon cours de dynamique des fluides incompressibles à l'École Polytechnique de Montréal, le professeur Jacques Godin m'a confirmé que le phénomène d'onde de choc était un phénomène naturel inévitable et qu'on ne pouvait s'en débarrasser. Autrement dit il fallait vivre avec celui-ci. À l'époque cette réponse ne m'avait pas convaincu et jusqu'à tout dernièrement rien n'avait satisfait ma curiosité. 

Imaginez ma surprise et ma grande satisfaction quelques annnées plus tard, c'est-à-dire tout dernièrement, lorsque Jean-Pierre Petit, chercheur au CNRS (Conseil National de la Recherche Scientifique), en France, affirma avec explication à l'appuis qu'il était possible non seulement d'agir sur l'onde de choc mais aussi de s'en DÉBARRASSER. Je vous confirme que si c'est vraiment possible que les conséquences de cette découverte sont énormes.

Il reste que les chiffres avancés par les documents Ummites sont impressionnants. Car ceux-ci nous confirme que quand nous disposerons des mêmes moyens technologiques nous pourrons, nous aussi, faire évoluer dans l'air des machines environnées de plasma à Mach 12, sans bruit ni Bang! Cela ne vous rappelle pas à votre esprit le comportement typique d'un OVNI en vol? Ajoutons que ce type de propulsion est strictement non polluant et que puisque que ce genre d'engin comporterait peu ou pas du tout de pièces mécaniques en mouvement, cet engin serait quasiment inusable. Voilà une vraie "garantie à vie"!
 

Merci à Christian Nault